«Une histoire d’amour is a little like Madame Bovary rewritten by Charles Bukowski.»
(Jonathan Murphy, The Bulletin)
«Comment le lecteur est conduit au dénouement, nous ne le dirons pas. Ce qui mérite, par contre, d’être souligné, c’est la force du propos, la froideur de l’autopsie des trois personnages, la rigueur d’une écriture lisse et comme impersonnelle, le resserrement racinien des situations, la crudité du regard et quelquefois des mots, mais dénuée de toute complaisance : c’est la vie qui est crue. C’est, enfin, le mécanisme inexorable de la souricière qui se referme sur « l’homme ». Et rien qui incite à le plaindre : l’amour lui a fait perdre la tête, nous n’y pouvons rien, c’est comme ça. C’est peut-être cela, le plus terrible. Et qui fait de Stéphane Lambert un auteur avec lequel il va falloir compter.»
(Jacques Franck, La Libre Belgique)
«Ce sujet éternel, Lambert le traite avec une distance qui donne à son récit un ton très particulier. La passion amoureuse, qu’il décrit sans la moindre émotion apparente, acquiert ainsi une force vive et tranchante et dispense un malaise dont nous émergeons difficilement.»
(Le Journal du Mardi)
«Un roman cruel écrit au scalpel et une impressionnante connaissance des choses du silence.»
(Sébastien Ministru, TéléMoustique)
«Ce serait presque un document, ce serait presque un livre de recettes, mais aussi un manuel du bien-écrire. Ce serait un roman, ni potentiel comme un ouvroir ni à ouvrir à l’aide de clefs utiles, mais possible, infiniment […] Alors la fiction s’impose comme le substitut le plus puissant à une vie banale. Sans elle, pas de salut.»
(Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants)
«Un récit implacable, classique dans sa rigueur distanciée, qui relève de cette « nouvelle objectivité » qui accompagne forcément les périodes de doute et d’inquiétude. Un livre qui ploie sous une menace indécise, exactement comme les temps que nous vivons.»
(Jacques De Decker, Le Soir)
«Un écrivain pour de vrai.»
(Michel Zumkir, La Libre Essentielle)
«Un roman poignant écrit dans une langue distanciée, presque froide, totalement maîtrisée.»
(Michel Paquot, Vers l’Avenir)
«Un style très moderne dans sa concision et sa brièveté, une écriture parfaitement maîtrisée, une observation lucide et féroce d’un certain conformisme puis des passions qui les font exploser, le thème de la mort (celui de l’eau aussi) comme un fil rouge dans la trame, l’une ou l’autre scène assez crue et sordide mais aussi quelques pages très belles et très profondes font de cette Histoire d’amour une histoire dont on plaint les héros, une histoire qu’on ne voudrait pas vivre, mais qu’on ne pourra oublier.»
(France Bastia, Nos Lettres)