« C’est un livre de passion. Il résulte aussi d’une passion de l’âme qui consiste à se confondre avec le sujet que l’on s’est donné à étudier… Ça se lit comme un poème, dans une alternance de vers libres et de prose lyrique et emportée… Il n’est […] pas de page dont je n’ai goûté le style incandescent, ni subi l’attraction pour l’oeuvre et la personne de Muir… [Le jardin, le séisme] relève plus d’une « folie » littéraire à la Queneau [qui] rêvait de totalité, d’un livre démesuré qui recensât tous les aspects de l’écriture et de la vie et qui brouillât la carte de la raison. Le fol livre ivre de Stéphane Lambert fait un peu revivre ce temps. »
(Eric Pistouley, Recours au Poème)
« Un véritable dialogue poétique s’engage […] entre ces deux hommes qu’une génération sépare. […] Par des phrases brèves, souvent des vers libres, jalonnés d’aphorismes percutants. […] Un livre intelligent sur ce qui « s’écrit à côté de l’écriture, sur la menace qu’elle comprend ». »
(Le Carnet et les Instants)
« Les poèmes de Stéphane Lambert cernent avec acuité et émotion contenue ce frère d’écriture… »
(Philippe Leuckx, Phoenix)