«Enfin une érotique de la sensation et de la pensée.»
(Claude Guerre, Maison de la Poésie de Paris)
«Une méditation originale sur les deux membres les plus indépendants du corps.»
(Jacques Franck, La Libre Belgique)
«Textes aigus, proses poétiques minutieusement taillées…»
(Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants)