«Mes Morts est un texte qui ne nous touche pas seulement par ce qu’il dit, mais aussi et surtout par sa forme, faite de longues phrases qui se déroulent et se recouvrent telles des vagues, revenant sur les mêmes thèmes pour les enrichir de variations nouvelles, en une sorte de litanie, de chant funèbre dont le caractère morbide est transcendé par la beauté de l’écriture.»
(Daniel Arnaut, Le Carnet et les Instants)
«Mes Morts peut s’entendre aussi comme « memor » : « qui se souvient » ou encore comme « la » mort multipliée en lui-même par celle des autres… Un texte à la fois lumineux, fraternel et lucide.»
(Ghislain Cotton, Le Vif/L’Express)
«Mes Morts est un livre fondamental dans l’oeuvre (en cours) de Stéphane Lambert.»
(Michel Zumkir, La Libre Essentielle)
«Elégie, poème lyrique exprimant une plainte douloureuse, dit le dictionnaire. C’est donc le mot qui convient au livre que Stéphane Lambert consacre à ses morts. Un lamento par l’exceptionnelle musicalité de l’écriture, qui n’a pourtant rien de baroque. L’auteur confère toujours à ses récits quelque chose de noir et de douloureux… Mes Morts expriment avec limpidité, et dans un phrasé admirable, sa relation avec la mort. C’est assurément, sur le plan formel, son plus beau livre.»
(Jacques Franck, La Libre Belgique)
«[Stéphane Lambert a], avec une magnifique maîtrise, élevé un tombeau littéraire à quelques défunts dont la perte l'[a] particulièrement affecté […] La phrase, Stéphane Lambert l’a maintenant apprivoisée, il s’entend à la rendre harmonique et continue, lancinante et affûtée.»
(Jacques De Decker, Le Soir)
«Un requiem. Un long chant. Le souffle d’un coureur de fond qui jamais ne s’arrête pour ne pas mourir.»
(Laurent Dehossay, RTBF)