Lire extraits de presse à propos de L’Adieu au paysage.
« Ce qui fait l’unité du livre, on le découvre peu à peu, n’est autre que la démarche même de l’essayiste, une démarche qui se confond étroitement avec le travail de l’écriture. S. Lambert s’inscrit dans une longue lignée d’écrivains critiques d’art – qui ne s’inféodent ni à l’histoire, ni au biographisme, ni à la psychocritique, ni à l’esthétique pure, mais questionnent l’œuvre pour y lever des significations discrètes, voire secrètes, permettant d’entrevoir quelque chose de sa « vérité ». Quête de la plus aigüe perspicacité, si l’on veut. »
(Daniel Laroche, Le Carnet et les Instants)
« Pour l’écrivain belge Stéphane Lambert, le monde, lorsque l’on s’appelle Monet, Twombly, Klee, Tàpies, Music, Mondrian, Morandi et de Staël, est encore une joie de paysage, c’est-à-dire possibilité d’unité, d’accord, de concorde au-delà de tout et des fureurs de l’Histoire. Colligeant des textes écrits sur ces artistes démiurges, Tout est paysage, publié à L’Atelier contemporain, est un très beau livre sur la peinture, et le pouvoir de la figuration, fût-elle dite abstraite, dans un monde avançant de plus en plus vite vers son enlaidissement, son saccage, sa défiguration. »
(L’Intervalle, blog de Fabien Ribery)
« Les tableaux […] ne se résolvent pas dans le propos de Stéphane Lambert qui cherche plus à s’approcher sensiblement de la matière picturale et de sa résistance, qu’à lui donner un sens définitif. »
(Antoine Bertot, Sitaudis)
« En romancier et poète, plutôt qu’en critique d’art, Stéphane Lambert a beaucoup arpenté et questionné l’oeuvre des peintres […] Une approche assurément insolite mais certainement féconde. »
(Jacques Franck, La Libre Belgique)
« Le livre de Stéphane Lambert est passionnant car il transforme la vision et la notion de paysage dans la peinture. »
(Jean-Paul Gavard-Perret, lelitteraire.com)