Stéphane Lambert a collaboré à l’ouvrage collectif consacré à Jacqueline Harpman, actes du colloque de l’Université d’Edimbourg du 10 décembre 2010.
Jacqueline Harpman – L’aventure littéraire, éditions Peter Lang.
Le colloque international ‘Autour de Jacqueline Harpman’ qui s’est tenu le 10 décembre 2010 à l’Université d’Édimbourg, sous l’égide du Centre de Recherches Francophones Belges, a permis de mettre en lumière les nombreux aspects de l’oeuvre de cette auteure éminente, par ailleurs psychanalyste. Les contributions des chercheurs européens ou des États-Unis, présents lors de cet événement, sont reproduites dans le présent volume. Elles couvrent quelque vingt publications de l’écrivaine et abordent tant les thématiques essentielles de ses écrits que les traits dominants de son style. L’ouvrage ouvre de nouvelles perspectives critiques et ne peut qu’inspirer d’autres recherches sur l’auteure récemment disparue (2012), d’autant mieux que plusieurs de ses textes inédits ont paru après 2010.
Contenu : Susan Bainbrigge : Introduction – Judyta Zbierska-Moscicka : Les géographies secrètes dans quelques romans de Jacqueline Harpman – Francisca Romeral Rosel : La démythification ou la dimensión humaine du mythe dans Mes OEdipe de Jacqueline Harpman – Annik Doquire Kerszberg : D’une narration l’autre : Le Bonheur dans le crime et En toute impunité – Marc Quaghebeur : Dire et dépasser un ‘affolement figé’ : La Mémoire trouble de Jacqueline Harpman – Estrella de la Torre Giménez : La Dormition des amants : un roman-mémoire du XVIIe siècle au coeur du XXIe siècle – Martine Renouprez : Le détournement du roman sentimental chez Jacqueline Harpman – Jeannine Paque : L’Amour idéal ou le sexe au placard : un programme d’écriture – Maria Snårelid : La Plage d’Ostende : le préoedipien dans le rêve d’un amour absolu – Gina Blanckhaert : Le brouillage des frontières entre la réalité et la fiction chez Jacqueline Harpman – Dora Leontaridou : Décomposition et recomposition de l’identité féminine dans l’oeuvre de Jacqueline Harpman – Katharine Swarbrick : Orlanda et la problématique de la jouissance – Nicole Thatcher : Le passage du temps dans l’écriture de Jacqueline Harpman – Stéphane Lambert : Avers et revers du rêve.